Plagiat de nos travaux économiques et publications par Christian Person

Lettre adressée à Monsieur Christian PERSON, PDG de UMALIS GROUP pour Plagiat de nos travaux économiques et publications

Puisque vous ne daignez guère répondre à mes mails envoyés aux adresses courriel pdg@umalis.fr ainsi que contact@umalis.fr et que vous ne jugez pas davantage utile de retirer l’article incriminé, je publie sur le site que vous avez plagié, afin de mieux attirer votre attention, la lettre que je vous ai adressée.  

Je vous informe que je prépare à votre encontre, un dépôt de plainte pour plagiat ou vol de propriété intellectuelle.

Dans l’article https://www.africatopsports.com/2023/09/28/lindustrialisation-acceleree-de-lafrique-subsaharienne-imperatif-pour-un-avenir-prospere/ publié le 28 septembre 2023 à 13h, vous posez en précisant votre nom et qualité Christian PERSON, fondateur et PDG de UMALIS GROUP. Vous ajoutez même un lien actif vers votre société UMALIS GROUP. Par ailleurs, le site Africa Top Sports semble aussi vous appartenir.  

Ainsi vous copiez grossièrement le contenu de mon site http://www.industrialisation-afrique-subsaharienne.com/ ainsi que celui de certains de mes articles récents dont le dernier https://afrique.latribune.fr/think-tank/tribunes/2023-09-21/pour-amorcer-la-reussite-de-l-afrique-subsaharienne-il-faut-un-programme-d-industrialisation-de-1-000-milliards-d-euros-en-20-ans-977072.html a été publié le 21 septembre.

Pourtant, vous n'ignorez certainement pas que le plagiat en groupe peut être puni de 5 ans de prison et de 500 000 € d’amende.

Francis JOURNOT

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L’industrialisation accélérée de l’Afrique subsaharienne : impératifs pour un avenir prospère

Le 28 Sep 2023 à 13:58

Jean KANATE

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L’Afrique subsaharienne, riche en ressources naturelles et culturelles, se trouve à un tournant crucial de son histoire. Face à une croissance démographique exponentielle, l’industrialisation rapide de la région devient une nécessité incontestable pour prévenir un potentiel chaos humanitaire. Les prévisions alarmantes de la Banque Mondiale annoncent que d’ici 2030, neuf personnes vivant dans l’extrême pauvreté sur dix se trouveront en Afrique subsaharienne. Une population qui atteindra 2 milliards d’habitants en 2050, puis 4 milliards en 2100, à moins que des mesures significatives ne soient prises.

Tribune de Christian PERSON, fondateur et PDG de UMALIS GROUP

Les échecs du passé et les défis actuels

Depuis six décennies, les institutions internationales et les ONG ont tenté de promouvoir le développement de l’Afrique subsaharienne. Malheureusement, les résultats ont été décevants, en partie à cause d’une idéologie climatique récente qui a freiné l’essor de l’industrie manufacturière génératrice d’emplois. Sous le prétexte de protéger l’environnement, ces politiques ont entravé la croissance économique essentielle pour sortir la région de la pauvreté.

L’absence de véritable volonté industrielle derrière le discours sur l’industrialisation de l’Afrique subsaharienne est préoccupante. Les principales institutions internationales telles que l’UE, l’AFD, l’ONU et le GIEC doivent prendre leurs responsabilités et répondre aux futures générations africaines qui les accuseront d’avoir mené une politique d’investissement dogmatique, contribuant ainsi à un désastre humanitaire sans précédent.

Un plan réaliste pour une industrialisation accélérée

Pour éviter ce scénario catastrophique, nous proposons un plan ambitieux visant à industrialiser l’Afrique subsaharienne en moins de 20 ans. Ce plan a été chaleureusement accueilli par de nombreux médias africains en 2020, mettant en lumière la demande pressante des travailleurs et des peuples africains pour le progrès économique promis depuis trop longtemps.

L’Afrique en 2040 : un eldorado industrialisé

En décembre 2040, le Sommet industriel africain a été le théâtre d’une célébration remarquable. L’Union Africaine et la Banque Africaine de Développement se sont félicitées des succès obtenus depuis la mise en œuvre du programme en septembre 2023. De nombreuses avancées ont été constatées, notamment une croissance économique significative dès 2030, la réduction de l’extrême pauvreté et de la malnutrition, ainsi qu’une meilleure condition des travailleurs.

Le rôle crucial des femmes dans l’économie subsaharienne a également contribué à une baisse du taux de natalité. Les investissements dans le dessalement de l’eau de mer ont amélioré l’accès à l’eau potable. De plus, les prévisions climatiques apocalyptiques ne se sont pas concrétisées, et l’accent est désormais mis sur le remplacement des énergies fossiles par des centrales nucléaires, favorisant ainsi une croissance continue qui atteint 12 % en 2040. 

Un programme de 1 000 Milliards d’Euros pour transformer l’Afrique

Le cœur de notre plan repose sur un investissement massif de  1 000 milliards d’euros sur 20 ans. Cet investissement sera réparti de manière stratégique pour stimuler l’industrialisation et le développement de l’Afrique subsaharienne.

  • 300 milliards d’euros seront alloués à la création de 100 zones d’activités industrielles et commerciales modernes, réparties dans une quarantaine de pays. Ces zones favoriseront la création d’emplois et s’accompagneront d’activités agricoles pour promouvoir des écosystèmes autonomes et durables.
  • 400 milliards d’euros seront consacrés à des prêts aux entreprises locales et étrangères, ainsi qu’à des investissements dans des projets à fort potentiel. Nous chercherons également à attirer des investissements extérieurs pour garantir la rentabilité et la stabilité de ces initiatives.
  • 300 milliards d’euros serviront à la construction de 100 villes nouvelles écologiques, offrant une meilleure qualité de vie à environ 150 à 200 millions d’habitants, y compris les familles des travailleurs.

Une nouvelle voie pour l’Afrique subsaharienne

L’un des aspects essentiels de notre programme sera de convaincre les plus grandes entreprises, actuellement basées en Chine, d’inclure l’Afrique subsaharienne dans leurs chaînes de valeur mondiales. Cette démarche contribuera à diversifier l’économie et à créer des emplois stables.

L’industrialisation accélérée permettra également d’augmenter les recettes fiscales des États, renforçant leur capacité à investir dans des infrastructures et à promouvoir le développement. Le programme pourrait également représenter des économies considérables pour la France, évitant ainsi une pression migratoire massive due à l’extrême pauvreté et à la faim en Afrique subsaharienne.

L’adhésion internationale au programme

Pour financer ce programme ambitieux de 1 000 milliards d’euros sur 20 ans, nous pouvons compter sur l’appui d’investisseurs internationaux, de pays développés et d’institutions multilatérales. Comparé aux sommes colossales demandées par d’autres initiatives mondiales, notre programme apparaît comme une option transparente et sérieuse, offrant également des opportunités de rémunération des capitaux investis.En conclusion, l’industrialisation accélérée de l’Afrique subsaharienne est un impératif pour garantir un avenir prospère à la région. Les enjeux sont énormes, mais la réussite de ce programme permettra de prévenir le chaos humanitaire, de stimuler l’économie africaine et de créer un partenariat solide entre l’Afrique et le reste du monde. Il est temps d’agir, de transformer les rêves en réalité, et d’offrir à l’Afrique subsaharienne la prospérité qu’elle mérite.

 

* En bleu les passages copiés ou inspirés de notre site web et de nos précédents articles publiés dans la presse  

 *En jaune les passages copiés ou inspirés de notre dernier article publié