Notre programme d’industrialisation de 1 000 milliards d’euros en 20 ans, amorcera la réussite de l’Afrique subsaharienne

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La plupart des africains ne croient plus aux promesses des gouvernements et institutions internationales. L’Agenda africain 2063 ne décolle pas. L’Aide publique au développement (APD) jugée condescendante voire post colonialiste, échoue depuis 60 ans et une pensée idéologique sclérose le développement. Tant qu’il n’y aura pas de projet global sécurisé et non dogmatique, capitaux et industries ne viendront pas.

Un modèle de capitalisme intelligent qui réduira l’extrême pauvreté et la malnutrition      

J’écrivais en 2020 dans la Tribune Afrique : "Afrique subsaharienne : le capitalisme pourrait réussir là où l’aide publique au développement (APD) échoue depuis 60 ans". Aussi, la création d’un fonds d’investissements, outil de financement et de mise en œuvre du programme, doté de 1 000 Mrds d’euros en 20 ans, abondé par la France, l’UE et des institutions financières, permettra de mener à bien le premier projet volontaire et crédible pour l’industrialisation et le développement de l’Afrique subsaharienne.

La répartition, bien que variable, des besoins en financement sur 20 ans se présenterait ainsi :

300 Mrds d’euros pour financer la création de 100 zones d’activités industrielles et commerciales modernes de différentes tailles, évolutives et sécurisées, reparties dans une quarantaine de pays dont les occupants, entreprises étrangères ou locales s’acquitteront ensuite des loyers et services auprès du fonds de gestion. Afin de créer des lieux de vie, autonomes et moins énergivores, des activités agricoles dans des périmètres de seulement quelques dizaines de kilomètres, complèteront ces écosystèmes.

400 Mrds seront consacrés à des prêts aux entreprises locales et étrangères ainsi qu’a des participations dans des projets à haut potentiel. Il nous faudra néanmoins, adosser le fonds à des investissements extérieurs et mécanismes de compensation pour satisfaire à des impératifs de rentabilité et de stabilité.

300 Mrds d’euros pour ériger 100 villes nouvelles écologiques, à distances raisonnables des 100 zones d’activités industrielles et commerciales. Elles accueilleront à terme, 150/200 millions d’habitants dont familles de travailleurs qui bénéficieront d’infrastructures énergétiques, transport, éducation, santé etc.

L’une des activités déterminantes de notre cabinet de stratégie et de conduite du "Programme pour l’industrialisation de l’Afrique subsaharienne en moins de 20 ans", consistera à aller nous-mêmes démarcher et convaincre en France et à travers le monde, schémas de process de production à la main et projections financières à l’appui, les plus grandes entreprises qui produisent aujourd’hui surtout en Chine, d’inclure l’Afrique subsaharienne dans leurs étapes de chaînes de valeur mondiales (CVM).

Le développement d’activités industrielles et commerciales qui seront de moins en moins informelles, offrira de nouvelles ressources fiscales. La capacité d’un Etat à lever de l’impôt est l’un des critères sur lesquels s’appuient les institutions financières. Aussi, les Etats pourront emprunter aux banques, au fil du développement, pour racheter des infrastructures ou investir aux côtés de notre fonds.  

Le programme pourrait faire économiser à la France, plus de 1 500 milliards d’euro en 20 ans

Il est peu certain que la France ait le choix. Son destin et celui de pays d’Afrique francophone sont liés. Sans industrialisation ni développement de la région et sous le poids de la démographie subsaharienne, une immigration exponentielle qui fuira l’extrême pauvreté et la faim, submergera l’hexagone et fera voler en éclats son modèle social. Ma tribune dans Le Figaro prévenait : "Si l'Europe n'aide pas l'Afrique subsaharienne à s'industrialiser, l'immigration explosera". L’APD française approche 16 Mrds d’euros pour le monde en 2022 et dépassera, avec l’objectif de 0.7 % du PIB, 20 Mrds en 2025. Elle doublera ou triplera si un chaos humanitaire touchant 1 milliard d’africains se produit lors de la prochaine décennie.

Aussi, notre programme pourrait faire économiser à la France, si l’on compte les éventuels coûts liés à aux phénomènes, connexes, directs ou indirects ainsi que l’économie générée par l’abandon progressif de la politique d’Aide publique au développement, plus de 1500 Mrds d’euros en 20 ans.

Pourquoi l’UE et des institutions financières accepteront aussi d’abonder notre fonds

Certes, le besoin total en financement de 1 000 Mrds d’euros en 20 ans peut sembler considérable. Il faut cependant considérer que le projet concerne une quarantaine de pays et profitera aussi à l’ensemble du continent africain. Lorsque l’on compare cet investissement mondial annuel de 50 Mrds d’euros au montant de 2 400 Mrds de dollars par an préconisé par la COP 27 pour aider les pays du Sud et « changer le climat » soit près de 50 fois plus élevé ou aux 27 000 Mrds d’euros d’ici 2030 réclamés par l’ONG Oxfam, il apparait évident que les investisseurs, pays développés et institutions multilatérales, visés pour mettre la main à la poche, préfèreront investir dans notre programme transparent et sérieux dont le fonds d’investissement servira en plus à terme, une rémunération des capitaux investis. L’UE dépense 80 milliards d’euros d’APD en 2023 mais la méthode semble désordonnée. En 2016, Bruxelles avait envisagé un financement de 1000 Mrds d’euros mais faute de plan structuré, avait dû renoncer.

Des marchés financiers qui peinent, dans un environnement instable, parfois à trouver des placements pour abriter les milliers de milliards d’euros qui leurs sont confiés, complèteront les apports. Au moment où chaque investissement doit se parer de RSE et d’inclusivité, un programme de développement et son fonds d’investissement, susceptibles de sauver à terme, de la malnutrition, du chaos humanitaire et de la mort, plusieurs centaines de millions d’africains mais dont la méthodologie d’investissement serait conforme aux exigences de sécurité et de rémunération des capitaux, séduiront la finance internationale.

L’enjeu géopolitique et géostratégique n’échappera pas non plus au gouvernement américain qui craint la montée en puissance de la Chine et sa mainmise sur les terres rares du numérique. Le volet Africa Atlantic Axis ouvrira une nouvelle voie. De même, on voit mal comment, à moins de vouloir maintenir l’Afrique subsaharienne dans sa situation pour des raisons idéologiques, l’ONU et la Banque mondiale, l’UA, la BAD et autres institutions, pourraient refuser d’adhérer à l’unique plan concret et d’envergure depuis 60 ans, de nature à réduire l’extrême pauvreté et la faim dans la région subsaharienne.

Mais sans protection des sites industriels et des personnels ainsi que de leurs familles, capitaux et entreprises n’afflueraient pas. Le volet sécurité occupe donc une place conséquente. Les pays africains signataires fourniront des effectifs. Leur formation et rémunération sont budgétées dans le programme. 

La construction confiée à des entreprises expertes qui préserveront au mieux la faune et la flore  

Des entreprises expertes en environnement apporteront leur excellence dans ce projet innovant qui placera la préservation de la faune et de la flore au premier rang de ses préoccupations. La pollution de l'air élevée dans les villes africaines, est la 2ème cause de décès prématuré après la malnutrition. Aussi nous demanderons à de grands groupes automobiles de construire, en partenariat avec de nouvelles entreprises locales qui créeront de nombreux emplois, des modèles de bus et de voitures, abordables, adaptés et peu consommateurs en carburants, hybrides et électriques. Ils remplaceraient progressivement une flotte aux émanations mortelles. L’industrialisation africaine et de nouveaux échanges pourraient permettre de redynamiser l’économie de la France et d’autres pays en panne de croissance.

Une jeunesse africaine entreprenante vivant en Afrique et une diaspora souvent diplômée et attachée à sa double culture, déçues par les politiques passées, manifestent un intérêt croissant à l’égard de notre "programme pour l’industrialisation de l’Afrique subsaharienne en moins de 20 ans". Un large plébiscite de celui-ci facilitera sa réalisation. Car il nous faut ensemble, tenter de faire mentir des prévisions de concentration en Afrique subsaharienne, de 90 % de l’extrême pauvreté mondiale en 2030 dans un contexte démographique de doublement de population et de possible chaos humanitaire sans précèdent. L’Afrique subsaharienne dispose de la possibilité et du pouvoir de s’offrir un nouveau destin.

Francis JOURNOT est consultant et entrepreneur. Il dirige le Programme pour l’industrialisation de l’Afrique subsaharienne en moins de 20 ans ou Plan de régionalisation de production Europe Afrique et Africa Atlantic Axis.  Il fait de la recherche dans le cadre d’International Convention for a Global Minimum Wage et tient le site Collectivité Nationale

Monsieur Christian PERSON, PDG de UMALIS GROUP

Puisque vous ne daignez guère répondre à mes mails envoyés aux adresses courriel pdg@umalis.fr ainsi que contact@umalis.fr et que vous ne jugez pas davantage utile de retirer l’article incriminé, je publie sur le site que vous avez plagié, afin de mieux attirer votre attention, la lettre que je vous ai adressée.  

Je vous informe que je prépare à votre encontre, un dépôt de plainte pour plagiat ou vol de propriété intellectuelle.

Dans l’article https://www.africatopsports.com/2023/09/28/lindustrialisation-acceleree-de-lafrique-subsaharienne-imperatif-pour-un-avenir-prospere/ publié le 28 septembre 2023 à 13h, vous posez en précisant votre nom et qualité Christian PERSON, fondateur et PDG de UMALIS GROUP. Vous ajoutez même un lien actif vers votre société UMALIS GROUP. Par ailleurs, le site Africa Top Sports semble aussi vous appartenir.  

Ainsi vous copiez grossièrement le contenu de mon site http://www.industrialisation-afrique-subsaharienne.com/ ainsi que celui de certains de mes articles récents dont le dernier https://afrique.latribune.fr/think-tank/tribunes/2023-09-21/pour-amorcer-la-reussite-de-l-afrique-subsaharienne-il-faut-un-programme-d-industrialisation-de-1-000-milliards-d-euros-en-20-ans-977072.html a été publié le 21 septembre.

Pourtant, vous n'ignorez certainement pas que le plagiat en groupe peut être puni de 5 ans de prison et de 500 000 € d’amende.

Francis JOURNOT

L’industrialisation accélérée de l’Afrique subsaharienne : impératifs pour un avenir prospère

Le 28 Sep 2023 à 13:58

Jean KANATE

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L’Afrique subsaharienne, riche en ressources naturelles et culturelles, se trouve à un tournant crucial de son histoire. Face à une croissance démographique exponentielle, l’industrialisation rapide de la région devient une nécessité incontestable pour prévenir un potentiel chaos humanitaire. Les prévisions alarmantes de la Banque Mondiale annoncent que d’ici 2030, neuf personnes vivant dans l’extrême pauvreté sur dix se trouveront en Afrique subsaharienne. Une population qui atteindra 2 milliards d’habitants en 2050, puis 4 milliards en 2100, à moins que des mesures significatives ne soient prises.

Trinue de Christian PERSON, fondateur et PDG de UMALIS GROUP

Les échecs du passé et les défis actuels

Depuis six décennies, les institutions internationales et les ONG ont tenté de promouvoir le développement de l’Afrique subsaharienne. Malheureusement, les résultats ont été décevants, en partie à cause d’une idéologie climatique récente qui a freiné l’essor de l’industrie manufacturière génératrice d’emplois. Sous le prétexte de protéger l’environnement, ces politiques ont entravé la croissance économique essentielle pour sortir la région de la pauvreté.

L’absence de véritable volonté industrielle derrière le discours sur l’industrialisation de l’Afrique subsaharienne est préoccupante. Les principales institutions internationales telles que l’UE, l’AFD, l’ONU et le GIEC doivent prendre leurs responsabilités et répondre aux futures générations africaines qui les accuseront d’avoir mené une politique d’investissement dogmatique, contribuant ainsi à un désastre humanitaire sans précédent.

Un plan réaliste pour une industrialisation accélérée

Pour éviter ce scénario catastrophique, nous proposons un plan ambitieux visant à industrialiser l’Afrique subsaharienne en moins de 20 ans. Ce plan a été chaleureusement accueilli par de nombreux médias africains en 2020, mettant en lumière la demande pressante des travailleurs et des peuples africains pour le progrès économique promis depuis trop longtemps.

L’Afrique en 2040 : un eldorado industrialisé

En décembre 2040, le Sommet industriel africain a été le théâtre d’une célébration remarquable. L’Union Africaine et la Banque Africaine de Développement se sont félicitées des succès obtenus depuis la mise en œuvre du programme en septembre 2023. De nombreuses avancées ont été constatées, notamment une croissance économique significative dès 2030, la réduction de l’extrême pauvreté et de la malnutrition, ainsi qu’une meilleure condition des travailleurs.

Le rôle crucial des femmes dans l’économie subsaharienne a également contribué à une baisse du taux de natalité. Les investissements dans le dessalement de l’eau de mer ont amélioré l’accès à l’eau potable. De plus, les prévisions climatiques apocalyptiques ne se sont pas concrétisées, et l’accent est désormais mis sur le remplacement des énergies fossiles par des centrales nucléaires, favorisant ainsi une croissance continue qui atteint 12 % en 2040. 

 * En bleu les passages copiés ou inspirés de notre site web et de nos précédents articles publiés dans la presse  

Un programme de 1 000 Milliards d’Euros pour transformer l’Afrique

Le cœur de notre plan repose sur un investissement massif de  1 000 milliards d’euros sur 20 ans. Cet investissement sera réparti de manière stratégique pour stimuler l’industrialisation et le développement de l’Afrique subsaharienne.

  • 300 milliards d’euros seront alloués à la création de 100 zones d’activités industrielles et commerciales modernes, réparties dans une quarantaine de pays. Ces zones favoriseront la création d’emplois et s’accompagneront d’activités agricoles pour promouvoir des écosystèmes autonomes et durables.

  • 400 milliards d’euros seront consacrés à des prêts aux entreprises locales et étrangères, ainsi qu’à des investissements dans des projets à fort potentiel. Nous chercherons également à attirer des investissements extérieurs pour garantir la rentabilité et la stabilité de ces initiatives.

  • 300 milliards d’euros serviront à la construction de 100 villes nouvelles écologiques, offrant une meilleure qualité de vie à environ 150 à 200 millions d’habitants, y compris les familles des travailleurs.

Une nouvelle voie pour l’Afrique subsaharienne

L’un des aspects essentiels de notre programme sera de convaincre les plus grandes entreprises, actuellement basées en Chine, d’inclure l’Afrique subsaharienne dans leurs chaînes de valeur mondiales. Cette démarche contribuera à diversifier l’économie et à créer des emplois stables.

L’industrialisation accélérée permettra également d’augmenter les recettes fiscales des États, renforçant leur capacité à investir dans des infrastructures et à promouvoir le développement. Le programme pourrait également représenter des économies considérables pour la France, évitant ainsi une pression migratoire massive due à l’extrême pauvreté et à la faim en Afrique subsaharienne.

L’adhésion internationale au programme

Pour financer ce programme ambitieux de 1 000 milliards d’euros sur 20 ans, nous pouvons compter sur l’appui d’investisseurs internationaux, de pays développés et d’institutions multilatérales. Comparé aux sommes colossales demandées par d’autres initiatives mondiales, notre programme apparaît comme une option transparente et sérieuse, offrant également des opportunités de rémunération des capitaux investis.

 *En jaune les passages copiés ou inspirés de notre dernier article publié sur la Tribune Afrique

En conclusion, l’industrialisation accélérée de l’Afrique subsaharienne est un impératif pour garantir un avenir prospère à la région. Les enjeux sont énormes, mais la réussite de ce programme permettra de prévenir le chaos humanitaire, de stimuler l’économie africaine et de créer un partenariat solide entre l’Afrique et le reste du monde. Il est temps d’agir, de transformer les rêves en réalité, et d’offrir à l’Afrique subsaharienne la prospérité qu’elle mérite.